Vélo Apéro Dodo

En vélo, en hamac

On se prépare à partir! On devrait commencer à pédaler entre le 6 et le 8 juillet. On attend le dernier matériel (nouveau frein arrière pour moi et portes-bagages pour Louise) et nous pouvons partir !

Vous pouvez retrouver notre trajet sur la page “À propos”

À bientôt :)

Simon et Louise Toutes les photos ici

Mais notre chat Yuzu est tombé malade, une infection urinaire, ça touche même les chats... Alors on attend un peu pour partir, histoire de le surveiller. On devrait partir mardi matin. En attendant, une petite photo du vélo de Louise :

Le vélo de Louise

Et du tarp qu'on a essayé chez une amie :

Le tarp

Simon et Louise Toutes les photos ici

On est parti ce matin vers 8h30, après avoir fait une tonne de câlins à notre chat, que nous savons en bonne compagnie (merci Lisa ❤️)

Le départ

Passé les premiers kilomètres où l'on apprend à conduire un vélo chargé comme une mule, on commence à réaliser l'aventure dans laquelle on s'est lancé.

Puis rapidement c'est la galère. La section Lyon-Mâcon de la véloroute 50 est en travaux, donc on enchaîne déviations, nationales (avec une bande cyclable), et demi-tours. On achète à manger à Villefranche, et passé cette ville ça devient un peu mieux.

Le repas du midi

On enchaîne sur 30 kilomètres de chemins qui traversent des villages, hameaux, tous mignons mais sans rien à manger non de Dieu, et Louise avait faim ! Jusqu'à ce que, miracle, nous trouvions une boulangerie. J'aime la France.

Louise et une église

15h

Ça allait mieux. On a finalement poussé jusqu'à Mâcon, et après quelques emplettes et le demi de blonde réglementaire, on se pose au camping municipal de Mâcon. Piscines, nuggets, et bouquiner furent notre soirée.

Les hamacs

Louise qui fait à manger

Je vous quitte sur la trace du jour, et je vous dis à demain :)

Simon et Louise Toutes les photos ici

Après une super nuit de sommeil en hamac (franchement, plus jamais je ne dors en tente si je peux dormir en hamac), un petit café a la fraîche, nous voilà partis de Mâcon en direction de Chalon-sur-Saône. Spolier: on a encore fait 95km au lieu de 70.

Le départ

Aujourd'hui, rien à voir avec la veille. L'itinéraire via la véloroute 50 est tellement bien fléché que nous n'avons pas eu besoin de sortir le GPS.

Le long de la Saône La Saône

Louise fait comme moi Louise

Nous avons longé la Saône à une bonne allure, et comme à midi nous avions fait 40km sur les 70 de fixés, on s'est dit qu'on pouvait prendre le temps de visiter Chalon et de trouver une nouvelle béquille pour Louise. La sienne avait pliée immédiatement sous le poids du vélo...

Seulement, il faisait chaud, très chaud aujourd'hui à Chalon. Après un coca bien frais en terrasse, on s'est dirigé vers le Décathlon pour une troisième béquille (Louise venait d'en plier une nouvelle).

Quand on pensait que notre journée allait se finir au camping municipal de Chalon, on s'est rendu compte qu'il était très peu fréquentable, et surtout sans arbre. Alors comme il était 17h et qu'on était encore en forme malgré la chaleur, on a décidé de pousser jusqu'à Chagny et de s'y installer pour la nuit. On a quitté la Saône pour rejoindre le Canal du Centre et l'Eurovélo 6.

Le long du canal

L'écluse du jour :

L'écluse

Et le campement pour la nuit :

Nos hamacs

Il est temps maintenant d'aller faire la lessive et la vaisselle...

Merci à toutes et à tous de nous lire !! Des bisous à vous.

La trace du jour :

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Ce matin au café, Louise m'a appris qu'il y avait eu un feu d'artifice la veille. Je dormais tellement que je ne l'ai pas entendu.

Au café

On est parti à 10h. Ce n'était vraiment pas à la fraîche. En plus journée caniculaire à nouveau, bravo les gars.

On a repris notre trajet sur l'eurovélo 6, le long du Canal du Centre que nous suivrons jusqu'à Digoin. Au fil de l'eau, nous écoutons Fip, et nous roulons sur le chemin de halage et la départementale.

La D974 transformée en véloroute D974

Parfois, nous passons aussi dans la forêt, havre de fraîcheur où nous nous ressourcessons.

La forêt

Vers midi, nous avons trouvé une boulangerie de l'autre côté du canal. Alors, comble de la francophonie, j'ai posé mon vélo sur sa béquille, pris le pont de l'écluse, et acheté ma baguette. Joyeux fête nationale, vive la France.

baguette écluse

L'après-midi fut moins reposante. Une fois passé Montceau-les-Mines (la “grosse” ville locale), on a mangé 900 mètres de dénivelé positif sous le cagnard. C'était quand même marrant.

Petit astuce quand vous avez chaud et soif. Sur l'excellente application de cartographie OSMand, il suffit de chercher “eau potable” pour voir tous les points d'eau à proximité. Ça nous a sauvé quelques fois aujourd'hui.

Louise a la fontaine

On a continué sur dans la forêt, jusqu'à arriver à Palinges, ou nous allons bivouacer pour la première fois après avoir mangé au restaurant du camping. Faut pas se laisser aller !

La forêt

Le demi

Voilà, aujourd'hui je voulais dire merci à Benjamin qui m'a prêté ses sacoches pour l'été et qui je sais, suit le blog.

Bisous à vous, et comme d'habitude, la trace du jour: 74km et 900m de positif.

Simon et Louise Toutes les photos ici

Pont-Canal Le pont-canal de Digoin

Après une super soirée au camping de Palinges où nous avons discuté avec deux autres cyclistes et mangé ce fabuleux pavé de bœuf sur un pavé de pierre

pavé de bœuf

tchin Nous sommes partis nous coucher dans nos hamacs, comme d'habitude.

Les hamacs

Après une nuit de sommeil un peu agitée dû à une chouette en rut, nous avons petit-déjeuné au bord du lac. Franchement sympa, on ne va pas se mentir.

petit déjeuner en terrasse

Quelques étirements et achat de saucissons au marché du village, nous sommes partis affronter ces derniers cols qui nous restait à gravir. Ce qui explique les 600m de dénivelé positif du jour.

Nous arrivons enfin à Digoin, ville où nous quittons le Canal du Centre pour rejoindre la Loire. Nous avons d'ailleurs déjeuné avec une jolie vue.

La Loire

L'après-midi fut plus tranquille. On a passé ce magnifique pont-canal et on a rejoint le Canal Latéral à la Loire pour arriver jusqu'à Bourbon-Lancy, où nous bivouquerons cette nuit, au bord de la Loire Sauvage. 79km pour aujourd'hui.

Après une petite bière dans la vieille ville, une douche solaire qui n'avait pas trop chauffée, et un morceau de saucisson, on mange nos œufs dur qui ont pris trop longtemps pour cuire, et au dodo !

Louise remplit l'eau

Bisous à toutes et tous !

La trace du jour:

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Hier soir, après avoir mangé, on est allé voir le point de vue sur la Loire Sauvage, la où nous avions installé notre bivouac. Un magnifique spectacle de nature avait lieu sous nos yeux.

Loire 1

Loire 2

Nous sommes ensuite allés installer nos hamacs. La nuit fut fraîche et silencieuse.

Le camp

Ce matin, réveil 7h, comme hier. On fait bien car un employé de la station de traitement de l'eau à côté de notre bivouac est arrivé vers 8h en nous regardant suspicieusement pendant qu'on pliait le camp. Départ à 9h, après un petit- déjeuner devant la Loire.

ptit dej

Puis on reprend la route. Petits chemins de petites vallées s'enchaînent et vers 10h on trouve des mûres sur le bord de la route. Quelques mètres plus loin, on assiste à une course effrénée de lièvres. Enfin, dans les nombreuses descentes, je bas le record de vitesse avec une pointe à 51,9km/h.

11h30, on arrive à Charrin, petite commune de 619 habitant, perdue dans la diagonale du vide. Et pourtant, on y trouvera deux merveilles. La première, et celle qui nous habitera toute la journée, est ce délicieux pâté disponible à l'épicerie-bar-restaurant, fait par l'éleveur du coin. Sans doute un des meilleurs pâtés. La seconde, c'est le relais véloroute en face de l'épicerie. Après s'être acquitter de 12€ à la borne automatique, on peut entrer dans ce refuge et trouver tout le nécessaire pour son vélo, la nuit, et passer un bon moment.

relais 1

relais 2

Dans ce petit village, se côtoient donc fermiers, petits vieux au café, et cyclo-voyageurs. Et on a croisé une dizaine de jeunes qui en sortaient et aller faire un tour de vélo. Incroyable.

On reprend un peu la route pour s'arrêter un peu après midi à Devay, pour déjeuner notre semoule cuisson lente et le fameux pâté. Et ben croyez-le ou non, c'était excellent.

Dej

13h30, on arrive à Decize et on boit un café. On vient de laisser derrière nous le Canal du Nivernais et l'on rejoint le Canal Latéral.

Canal 1

Canal 2

À 16h30, et après 90 kilomètres, on arrive à Nevers où Naim de Warmshower nous héberge pour la nuit (on te remercie Naim). Il nous conseille le café vélo où l'on va boire un demi bien mérité, on se balade un peu dans la ville, et comme on avait trop faim, on est allé pique-niquer dans le parc Roger Salengro le même repas que ce midi, parce que c'était trop bon.

Apéro

Au parc

Merci encore à toutes celles et ceux qui me lisent et nous suivent. Ça nous fait plaisir. A demain 🚲

La trace du jour :

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Après notre fameux dîner au parc, nous sommes donc allés chez Naim et Julia. C'était notre premier Warmshower, une application qui met en contact des cyclistes qui cherchent un hébergement et des cyclistes qui hébergent. Nous avons été accueillis chaleureusement, ils nous ont fait visiter la ville et on a pu boire un verre dans un des cafés de la ville. On a passé une super soirée. Merci à vous.

Naim et Julia

Le lendemain matin après une bonne nuit de sommeil, Naim est parti avec nous. Après avoir traversé le pont-canal et double écluse dont une de 9m50 unique en France, on a discuté avec l'éclusier tout aussi unique en France. C'était le Canal Latéral qui passait au dessus de l'Allier.

allier

écluse

Nous avons ensuite fait un petit détour pour aller voir le magnifique village qu'est Apremont-sur-Allier. Un château, des terrasses magnifiques, une commune parfaitement conservée.

Sur la route d'Apremont

À 9h42 précisément, nous arrivons au kilomètre 0 de la Loire à Vélo, que nous allons suivre jusqu'à Saint-Nazaire. Un moment important de notre voyage.

km0

nous

Naim

C'est ici que Naim fait demi-tour, tandis que Louise et moi entamons une longue piste cyclable en ligne droite bordée par des champs et des arbres qui nous conduira jusqu'à notre arrivée.

La piste

Vers midi et après 50km de bicyclette, nous arrivons à la Charité-sur-Loire où nous déjeunons. Après un rapide tour chez le boucher, on pique-nique sur la place Sainte Croix. On se rend compte qu'on a fait exactement 500km depuis Lyon!

église

On boit ensuite un café et on mange une petite pâtisserie anglaise dans un salon de thé nommé Chariteas, et c'est reparti sur la piste.

pâtisserie1

pâtisserie2

Finalement vers 15h, on avait déjà fait 83km et on était à Sancerre. Notre choix pour la nuit se porte sur le camping de Saint Satur, en bordure de Loire. On monte les hamacs, on va se baigner à la piscine où Louise allait quand elle était petite.

À 17h pour l'apéro on va au Ligérien, petite guinguette de bord de Loire. Un verre de Sancerre et un crottin de Chavignol. Le coin est tellement sympa que nous y revenons pour dîner une andouillette au Sancerre.

Le ligérien

C'est depuis cette petite terrasse paisible que je vous écris. Le voyage à vélo a cela de bon, vous vous laissez porter par le courant et vous vous arrêtez quand cela vous plaît dans des coins que vous ne saviez pas ne pas connaître. À vélo, on dit beaucoup bonjour, merci, est-ce que vous auriez de la place pour deux ce soir, vous venez d'où, vous savez où est l'eau ?

À demain pour de nouvelles aventures !

nous encore

La trace du jour :

Simon et Louise Toutes les photos ici

Parti du camping, on rejoint la piste cyclable et on commence à rouler. Pas très longtemps après, Louise remarque un panneau indiquant “Crottin de Chavignol, 500m”. Alors nous, ni une ni deux, nous voici à la ferme.

Louise a la ferme

tableau des prix

Les chèvres

Trois crottins de Chavignol plus tard, on est reparti. Sur le chemin, on longe la centrale nucléaire de Belleville-sur-Loire, et c'est très impressionnant. Lorsque l'on passe près des cheminées, notre rythme ralentit à la vue de ces immenses édifices de béton.

Les cheminées

M'enfin. On pédale encore un petit peu et puis voyant que l'on est en avance sur le planing, on fait un détour par Bonny-sur-Loire, “petite perle du Loiret” selon le routard. On y casse la croûte des crottins, et on va ensuite voir le célèbre pont de Chatillon, très vieux, très beau.

pont 1

pont2

Juste à côté de ce pont se trouve la tout aussi mignonne écluse des Combles et le camping connexe. Très chouette endroit.

écluse des combles

On refait quelques kilomètres et on arrive à Briare, où un super glacier artisanal nous attend. Je le connaissais déjà, vous savez moi les glaces, c'est une passion. Si vous vous y arrêtez, sachez que la coupe de glace est comestible puisqu'elle est en chocolat.

Les glaces

On passe ensuite le pont-canal de Briare, très beau également, et l'on trace vers Gien.

pont canal

lile

Et là nous sommes face à un dilemme. Il est 13h30, on a fait 50km et on n'est pas du tout fatigué. Nous ne sommes qu'à 50km d'Isdes, petit village où la mère de Louise a sa maison de vacances et où nous allons nous arrêter une semaine. Bon vous nous connaissez, on aime pédaler. Alors c'est parti pour Isdes.

Par contre, vous l'aurez peut-être remarqué, cette après-midi était particulièrement chaude. L'eau dans les gourdes tournait rapidement au tiède, même dans celles isothermes.

À cela s'ajoute la faible densité d'arbres et d'ombre sur les routes que nous empruntons.

Au soleil

Une fois ce désert de champs traversé, on arrive à Gien. On remplit les gourdes, on se mouille un peu.

Gien

Gien2

C'est parti pour les 30 derniers kilomètres. À nouveau de la départementale en plein cagnard, il faisait super chaud.

C'est après 97km que nous arrivons à la maison. On lance une machine et on se dirige vers le bistrot pour y manger des chips et boire un demi qui nous assomera pour la soirée.

2/2

La fin de cette journée marque la fin de la première étape de notre périple. Nous prenons une semaine de pause, non pas parce qu'on serait fatigué, mais pour voir un peu la famille de Louise.

Pendant cette semaine de pause il n'y aura donc pas d'écrit quotidien, mais j'essaierai de faire un petit billet des questions qui nous ont été posées, telles que “ah ouais vous dormez en hamac?!” et les petites astuces pratiques qu'on a trouvé pour le voyage. Si vous voulez poser une question vous pouvez me l'envoyer à simonw@mail.fr.

À lundi prochain et bisous à tous!!

La trace du jour :

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On est reparti ! Aujourd'hui on a pas mal pédalé avec 112 kilomètres au compteur. Une longue étape que je vous raconte juste après...

La semaine de repos

Franchement ça faisait du bien, on a pu notamment visiter le Parc Floral de la Source à Orléans.

parc

C'est un parc dans le lieu-dit Le Bouillon, où se trouve la source du Loiret. En cette saison on y a vu (et senti !) beaucoup de roses, mais aussi cette jolie fleur

fleur1

Et ces jolis animaux

Louise et mahaut

On a pu surtout, et je vous le conseillerai rien que pour cela, visiter la serre aux papillons. C'est un endroit où l'on se sent comme la belle au bois dormant, moi j'adore.

papillon1

papillon2

L'étape

Amis et amies lectrices, voici donc l'étape du jour. Nous sommes parti vers 8h30 de ce village solognote pour rejoindre le bord de Loire à Sully.

pont Le pont du Sully, réservé au piétons et bicyclettes

Se lève alors une jolie brise Ouest – Sud-ouest que nous aurons de face jusqu'à l'arrivée. Ça risque d'être comme ça jusqu'à l'océan.

Faisant fi du vent nous continuons sur les levées de la Loire – sorte de digues – jusqu'à Darvoy, où une déviation à lieu.

Pour celles et ceux qui ne sont pas familiers avec ce genre de bazard, les déviations à vélo c'est, les trois-quart du temps, laborieux et surtout dangeureux. Mairie de Darvoy si vous me lisiez, soyez attentifs.

Nous commençons donc à suivre le premier panneau, qui fut en fait le dernier. Aucune indication de la longueur des travaux, où récupérer la piste, par où passer. Bon an mal an, on regarde sur la carte et on se dit qu'on va pouvoir la récupérer 10 kilomètres plus loin. Sauf qu'en fait, le seul moyen à priori c'est la départementale, et elle est chargée. On commence à l'emprunter parce qu'on se dit “pas le choix”, mais en fait c'était l'horreur. Heureusement on a réussi à trouver un chemin de champs sur la carte et à arriver à bon port. Bref quand vous voyez une déviation, posez-vous 5 minutes et étudiez la question.

Cet épisode tragique passé, on avale notre déjeuner et on file vers Orléans. Sur le chemin, un observatoire sous forme de cabane en bois permet de voir ces oiseaux endémiques nichés sur les bancs de sables, on s'y arrête pour manger quelques amandes et essayer de les reconnaître. Je me dis que ça fait quelques fois que j'aurais aimé avoir mes jumelles.

oiseaux

On traverse ensuite le très beau Parc de Loire, et passé le panneau Orléans, il commence à pleuvoir. On se réfugie alors dans un café de la ville, où on attend que l'averse passe.

On avait fait 90 kilomètres mais on était encore en forme, alors on s'est dit qu'on aller dormir à Beaugency.

pont Le pont d'Orléans

En passant, on traverse de jolis villages comme Saint-Hilaire et sa mairie franchement canon

La mairie

Et Meung-sur-Loire (prononciation, quelqu'un?), la “petite Venise” où coulent les Mauves. Très mignon.

canal

Enfin, cette jolie guinguette de hippies, où l'on n'a fait que passer parce qu'ils avaient l'air un peu chelous quand même.

guinguette

Bref, on finit par arrive au camping de Beaugency après 112 kilomètres, alors on installe les hamacs et on file à la paillote, où l'on boit deux demis et on mange deux frites bien méritées. Un des nombreux avantages du voyage à vélo!

frites

On retrouve nos hamacs, et on est content.

Je vois que vous êtes nombreux et nombreuses à nous lire, à prendre des nouvelles et à trouver ça chouette. On ne va pas se mentir, c'est surtout la famille et les copains hein, on n'est pas des stars. Mais ça fait plaisir.

La bise à tous ❤

La trace du jour :

Simon et Louise Toutes les photos ici